• Reportage de France3 sur Rand'Otxoa


      Jeudi midi est passé sur France3 Aquitaine un reportage sur notre randonnée chiens de traîneau, mais aussi sur l'équipe Otxoa's team. Le soir ce même reportage est passé sur l'édition Euskal herri/Pays basque . Voici le lien : Reportage Fr3 Rand'Otxoa
    Cliquez ensuite sur Jeudi 29 novembre.



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  • Rand'Otxoa 2007
    l'article dans le sud ouest


      Pour voir notre propre résumé cliquez ici



      Le résumé édition pays basque:

    CHIENS DE TRAÎNEAU A IRATY.
    --Organisée par le seul membre du Pays Basque du club pyrénéen des sports de traîneaux à chien, la randonnée Rand'Otxoa s'est déroulée samedi sur une piste de fond

    Sur terre et sur neige
    :Marcel Bedaxagar

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    Un quad tiré par des chiens, un traîneau à roues ou encore un vélo tractés par des canidés? le spectacle est assez insolite en ces samedi après-midi et dimanche matin à la station de ski nordique d'Iraty-Soule. « C'est une randonnée qui nous permet de nous entraîner quand il n'y a pas de neige. Je suis le seul adhérent basque du club pyrénéen des sports de traîneau à chiens (CPSTC) et j'ai eu envie d'organiser ce rassemblement pour faire connaître notre région et ce beau site d'Iraty », explique Mathieu Crusener, alias Otxoa. D'où le nom qu'il a donné à cette rencontre : « Rand'otxoa ».


    De pure race. Le site d'Iraty, partenaire de l'opération, renoue ainsi avec une certaine tradition, qui a vu une compétition de chiens de traîneau se dérouler sur ses pistes en janvier 2006. Mais la vitesse n'est pas du tout la même cette fois. « Nous cherchons surtout à faire des randonnées sur la poudreuse mais la majeure partie de l'année, nous nous entraînons sur des traîneaux à roues que nous appelons karts », précise Otxoa. « Nous avons donc des chiens de pure race, comme les huskies de Sibérie, ou les chiens inuits comme les Groenlandais, les Malamutes, contrairement aux chiens de compétition qui sont souvent des croisements de races pour gagner en vitesse », poursuit le jeune Bayonnais.


    Du grand Sud-Ouest. Mais la randonnée s'élance et donne à voir ces attelages hétéroclites lancés sur une piste de ski de fond longue de 11 kilomètres. « Nous avons au total un peu plus de 70 chiens pour une vingtaine de mushers (1) qui proviennent du département mais aussi des Hautes-Pyrénées, de la région bordelaise, de Toulouse ou de l'Ariège, en somme du grand Sud-Ouest », précise Otxoa. Un organisateur heureux en ce week-end ensoleillé dans les superbes paysages d'Iraty. « C'est le temps idéal. On a déglacé la piste ce matin pour que tout le monde puisse passer et tout se déroule très bien sauf pour moi qui ai cassé ma machine », sourit-il en attelant ses chiens à un vélo. Mathieu Crusener espère malgré tout que sa randonnée plaira et qu'il pourra la reconduire. « Si elle a de bons échos, les mushers viendront de toute la France », espère-t-il.
    (1) Conducteurs de traîneau, du mot anglo-canadien « mush » provenant lui-même du français « marche ».


      Le résumé édition béarn :

    IRATY.......
    --Organisée par le seul membre du Pays basque du Club pyrénéen des sports de traîneau à chiens, la randonnée Rand'Otxoa s'est déroulée samedi et dimanche sur une piste de fond de la station

    De drôles d'engins, derrière de superbes chiens

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    Un quad ou des vélos tirés par des chiens, le spectacle est assez insolite en ces samedi après-midi et dimanche matin à la station de ski nordique d'Iraty. « C'est une randonnée qui nous permet de nous entraîner quand il n'y a pas de neige. Je suis le seul adhérent basque du Club pyrénéen des sports de traîneau à chiens (CPSTC), et j'ai eu envie d'organiser ce rassemblement pour faire connaître notre région et ce beau site d'Iraty », explique Mathieu Crusener, alias Otxoa. D'où le nom qu'il a donné à cette rencontre : Rand'Otxoa.


    De pure race. « Nous cherchons surtout à faire des randonnées sur la poudreuse, mais la majeure partie de l'année, nous nous entraînons sur des traîneaux à roues que nous appelons karts », précise Otxoa.
    « Nous avons donc des chiens de pure race, comme les huskies de Sibérie, ou les chiens inuits, tels que les groenlandais, les malamutes, contrairement aux chiens de compétition, qui sont souvent des croisements de races pour gagner en vitesse », poursuit le jeune Bayonnais. Mais la randonnée s'élance sur une piste de ski de fond longue de 11 kilomètres.


    Le Grand Sud-Ouest. « Nous avons au total un peu plus de 70 chiens, pour une vingtaine de mushers (1) qui proviennent du département, mais aussi des Hautes-Pyrénées, de la région bordelaise, de Toulouse ou de l'Ariège, en somme du Grand Sud-Ouest », précise Otxoa. Un organisateur heureux en ce week-end ensoleillé dans les superbes paysages d'Iraty.
    « C'est le temps idéal. On a déglacé la piste ce matin pour que tout le monde puisse passer, et tout se déroule très bien », sourit-il. Mathieu Crusener espère que sa randonnée plaira et qu'il pourra la reconduire. « Si elle a de bons échos, les mushers viendront de toute la France », espère-t-il.
    (1) Conducteurs de traîneau, du mot anglo-canadien mush, provenant lui-même du français marche.






























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  • Rand'Otxoa
    Iraty 2007




      Je rappelle que la limite d'inscription pour la randonnée est fixée au 20 octobre...Alors pour ceux qui ne sont toujours pas inscrit...vous savez ce qu'il vous reste à faire...
    Cliquez ici






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  • Bien triste nouvelle


    Hommage à Isis.

    Douloureuse soirée que fut ce 15 septembre, date à laquelle Isis, la doyenne de la meute, s’est éteinte. Il y avait ce soir là, quelque chose d’inhabituel dans le comportement des chiens… le hurlement des huskies et l’énervement de Patch, le terre neuve.

    Peu de temps après, nous comprîmes le drame qui venait de se jouer, Isis, sans crier garde, sans le moindre signe énonciateur, nous a quitté.

    La vie d’un chien est courte… éphémère et c’est un sentiment tout à la fois mêlé d’anticipation et d’appréhension que connaît le maître tout au long de ses années de vie commune. Une quinzaine d’années tout au plus suffiront au chien pour naître, se développer… et s’éteindre. C’est cette raison qui pousse certaines personnes à renoncer à accueillir une petite boule de poils dans le foyer familial. Et pourtant, que sera dans notre mémoire cette difficile journée du 15 septembre face aux treize années de bonheur qu’Isis nous aura fait vivre.

    Oui, il peut y avoir dans la vie des épreuves bien plus difficiles à surmonter que la mort d’un chien, mais après treize ans de partage, le maître ne pourra ressentir que douleur et tristesse au départ de son compagnon. On ne s’habitue jamais à perdre un chien… on relativise tout au plus.

    Isis était de celle qui vieillisse bien, sans lifting et sans bottox… vieillir, tout simplement. Seuls quelques poils blancs, témoins du temps qui passe, se sont fait une  place sur son long museau. Du jour de son arrivée, date à laquelle nous l’avons adopté à la SPA, jusqu’au jour de sa mort, Isis à toujours débordé d’énergie, rythmant notre quotidien de ses battements de queue. Nous garderons en mémoire les images de ce petit chiot aux allures si fragiles, dévaler de sa foulée ample et gracieuse les kilomètres au cœur de la forêt de pins de Chiberta. Elle était comme ça Isis, énergique et infatigable, cherchant par tous les moyens à combler son insatiable soif de  liberté et de grands espaces.

    Dans la mythologie égyptienne, Isis est la mère d’Horus, le soleil du soir et de du matin. Le soleil justement, Isis ne pouvait pas s’en passer. Quel bonheur pour elle que de pouvoir s’allonger sur la terrasse, chauffée par les rayons du soleil d’été, une petite balle ronde aux doux effluves de caoutchouc à ses côtés. Isis nous a quitté le 15 septembre, à la veille de l’automne et sous la chaleur d’un été Indien sur la côte basque.

    Isis retourne à la terre, cette terre qu’elle aimait tant renifler, fouler de son pas gracile, de son élégante et si particulière démarche. Les mouches et les lézards, ses proies favorites, auront un peu de répit… Isis n’est plus sur leurs traces. 

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    Ciao Isis.


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